Europe et Finance : Comment sauvegarder votre argent ?

source sputniknews.com

La richesse de l’actualité devrait pousser chaque épargnant à se poser les bonnes questions. L’Europe part en vacances avec la gueule de bois. L’Angleterre et son « BREXIT » ne veut plus de l’Europe, et l’Islande affirme également ses distances. L’Espagne et le Portugal sont en difficulté de paiement, et l’Italie a insufflé des dettes bancaires énormes dans les comptes d’une Europe bien malade. Les Français ont voté contre l’Europe et pourtant une minorité politique a accepté le traité. Les Français ne veulent pas d’une loi, et pourtant une minorité politique l’impose à coup de 49-3. Arrivée en finale de football, les bleus représentent la défaite d’un peuple qui semble baisser les bras.

La majorité des lois restrictives sont votées lorsque les Français sont en vacances, ainsi le droit de grève est respecté parce qu’il n’y a pas de grévistes en cette période, même les représentants syndicaux abdiquent pour profiter des plages et du soleil, oubliant que ces instants de bonheur ont été si durement gagné au fil du temps par leurs ancêtres.

Pendant que le bronzage fera la fierté de bon nombre, une série de lois autorise les politiques à bloquer l’épargne des Européens. Le dernier bastion financier des épargnants Français, l’assurance vie,  est tombé avec cet amendement de la loi « Sapin 2 » qui a créé une haute autorité capable de bloquer les contrats jusqu’à la possibilité d’interdire les rachats partiels, et ce dans l’indifférence totale des médias financiers.

Si un conseiller financier rémunéré par un épargnant, conseille des supports d’investissements qui sont tous sous le coup de la loi en matière d’autorisation d’utilisation, ou qui sont excessivement taxés par l’impôt, ou qui ne sont même pas capable de couvrir le cout de la vie, le bon sens veut qu’on lui ferme la porte. Ce n’est pas toujours ce qui se passe, bien au contraire. Le code civil précise que nul n’est censé ignorer la loi. Mauvaise habitude latine, l’épargnant est trop souvent amené à découvrir après coup les méandres et limites des opérations sur lesquelles il s’est engagé. Un professionnel se doit de vous informer, mais il n’a pas la responsabilité directe des lois et ne peut être, en France, recherché pour ne pas avoir détaillé les textes applicables. Dans le système judiciaire américain, le manque d’informations impose la responsabilité du professionnel au profit de l’épargnant. Une information non donnée est une faute par omission reconnue.2016-rentabilite-des-investissements-france

Au-delà de ces éléments, nombreuses sont les richesses dilapidées à cause de charges gouvernementales excessives pour les États européens, et multiples autres mauvaises gestions de fonds des épargnants entrainant une rentabilité négative et des pertes. En résulte un fossé laissant découvrir une paupérisation inédite qui se creuse d’avantage chaque jour. La peur d’une perte du peu acquis l’emporte sur la volonté de révolte.

Des solutions existent pour permettre de sauvegarder son capital, ces informations sont cependant peu relayées par les médias. Si nous préconisons d’investir dans la terre et sur des territoires sécurisés et moins taxés, c’est parce que nos 20 années d’expérience nous ont démontré les résultats des autres investissements. Si nous proposons des supports d’investissements accessibles à partir de tarifs raisonnables, c’est parce que nous donnons la possibilité aux épargnants de rester flexible et d’investir selon leur budget.

S’informer c’est prévoir. A l’heure où les députés Européens ont votés à leur bénéfice une retraite à taux plein dès 6 mois de présence à hémicycle, bien que personne ne sache si les caisses de retraites seront suffisamment solides pour couvrir les gaspillages des politiques européennes, il est important de prendre les bonnes décisions.

Créer votre capital pour sécuriser vos lendemains,  investissez  et consolidez vos gains sans attendre. Les terres lointaines n’ont jamais été aussi proches …

Enfer ou Paradis : Vers un Printemps Européen?

One WayLe Printemps arrive à nos portes, irons nous également vers  le « Printemps de l’Europe ? ». Grâce aux moyens de communication, les peuples peuvent prendre de graves décisions dans la gestion de leur pays comme cela se passe en Ukraine.

L’actualité analysée donne une Europe fragile. Le taux des incivilités et de la criminalité augmente. Les décisionnaires semblent impuissants et ne parlent que de la responsabilité de tous pour accentuer la charge fiscale. L’économie sur les « budgets » est pourtant au centre de toute évolution actuellement. Aucun pays d’Europe ne pourra se sortir rapidement de la crise profonde actuelle si elle ne modifie pas de façon très importante, les structures de chaque gouvernance.

L’Europe, dans sa quête d’unité, a engendré à ce jour, plus de charge et de complexité qu’elle n’a su apporter de réponse solide. Pourtant, la libre circulation qui a fleurie sur le papier aurait du donner une vraie richesse dans les cultures partagées. Le frein est que nous essayons de construire l’Europe avec les dirigeants de chaque pays adhérent, qui gardent leur propre perception de gouvernance. Ils ne sont pas à même de souder leurs différences pour ne faire qu’une seule voie dans le discours et dans les décisions. Rendre chacun de nous responsable de la déstabilisation financière, de la déroute économique en essayant de trouver des coupables plutôt que de travailler à des solutions réellement applicables, est le signe d’une réelle impuissance de nos dirigeants qui ne parlent que de leurs « bonnes intentions ».

Nous ne voulons pas penser que cela est voulu, calculé. J’ai toujours en tête cette œuvre de Machiavel quand je vois le résultat des décisions prises. La peur divise, et pour garder son règne, ne faut-il pas « diviser », écrivait-il ? Sur le terrain nous disent les Européens soucieux « Nous avons le sentiment d’aller de plus en plus vers un enfer de vie malgré les belles intentions. »

N’oublions pas ce proverbe parfaitement d’actualité : « La route vers l’enfer est pavée de bonnes intentions ».